L’enquête

Etat des lieux

Au vu de l’émergence et de l’intérêt croissant pour l’agriculture urbaine (pouvoirs publics, entreprises, intercommunalités)
Au vu des besoins des porteurs de projets de disposer d’espaces pour développer ou tester leur activité (à partir de 50m2)
En réponse à la difficulté des décisionnaires publics de se rapprocher des acteurs de terrain et de développer une technicité en agriculture urbaine
Sachant que la Cité de l’agriculture est en lien avec les deux parties

L’enquête consiste à

Recenser les municipalités désireuses de voir se développer l’agriculture urbaine sur leur territoire
Recenser les structures publiques ou privées volontaires qui disposent de toits (ou d’espaces non utilisés)
Identifier ce que les interlocuteurs mettent à disposition pour l’agriculture urbaine au sens strict (toits, terrasses, dalles de parking) ou plus largement (terrains, parcelles et parcs), que ce soit gratuit ou moyennant vente ou location

Objectifs

Rechercher et sélectionner des toits, dalles, espaces potentiellement exploitables
Proposer des opportunités de terrain concrètes aux porteurs de projet, les mettre en lien avec les acteurs identifiés
Tester la faisabilité opérationnelle et technique de l’agriculture urbaine à Marseille
Déterminer les contraintes techniques et règlementaires liées aux bâtiments et aux documents d’urbanisme
Elargir le réseau d’acteurs qui contribue au développement de l’agriculture urbaine

Territoire

La ville, l’urbain. La métropole Aix-Marseille.
L’enquête ne concerne que les espaces urbanisés.

 

L’agriculture urbaine redessine la ville en proposant un nouveau rapport entre le citadin et la nature par le biais d’une cité qui (re)devient comestible. En regardant autrement le végétal, la faune, la flore, nous tournons ainsi le dos à presque un siècle de minéralisation de la ville. Si les liens sont encore méconnus et complexes, l’agriculture urbaine participe à la reconquête et à la préservation de la nature en ville. Il s’agit de mieux comprendre ses liens avec la biodiversité sur le long terme.

Antoine Lagneau, Natureparif http://www.natureparif.fr

Violaine nous a rejoint en juin 2017. Elle se charge de l’enquête. La mission dure six mois.

Le rythme est très bon, les questions soulevées par l’exploration sont nombreuses mais les réponses aussi.
A vous que Violaine contacte et sollicite, un grand merci.
Vous contribuez au développement de nouveaux rapports à la ville, aux différentes formes d’agricultures et potentiellement à l’émergence de nouveaux métiers, ceux des agriculteurs urbains.

Plus d’infos le 7 novembre 2017 : http://www.cite-agri.fr/evenement/conference-lagriculture-urbaine-mediterraneenne-entre-recherche-terrain/

champignons en ville


Photo : Des champignons urbains, cultivés sur marc de café ou drêche de bière. Voir https://www.facebook.com/champignons.marseille/

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